La conscience de l’eau
L’eau a-t-elle une forme de conscience ou, tout au moins, la faculté d’enregistrer les énergies harmonieuses – ou disharmonieuses – que l’on dirige vers elle ?
Tout semble le prouver…
Nous vous présentons cette découverte fondamentale avec quelques photographies à l’appui. Certaines ont servi à illustrer la couverture, d’autres un article de cette revue.
Le seul conseil que nous puissions vous donner est d’acquérir les deux volumes dans lesquels cette découverte essentielle est présentée.
Les images sont à couper le souffle et ce qu’elles induisent ouvre des perspectives fantastiques quant à la notion de conscience et à notre place dans l’univers.
« Le XXIe siècle sera spirituel »… Avec Messages from Water, nous n’en doutons pas un instant.
Nous voilà dans un véritable bain de jouvence spirituel !
Nous avons tous entendu parler de Jacques Benveniste qui, vers 1988, a découvert la « mémoire de l’eau », donnant à l’homéopathie une base scientifique, découverte que les rationalistes purs et durs se sont empressés de combattre avec une mauvaise foi caractéristique.
Aujourd’hui, la découverte de Benveniste semble bien pâlichonne à côté de celle d’un naturopathe japonais du nom de Masaru Emoto.
Spécialiste du hado, l’énergie vitale selon la tradition chinoise, Emoto a étudié l’influence de l’énergie vitale sur l’eau au moyen de l’analyse de résonance magnétique. Poussant ses recherches pendant plusieurs années, il a fait en 1994 une découverte fondamentale dans les cristaux d’eau gelée.
La méthode
Son procédé expérimental est simple : il suffit de verser de minces pellicules d’eau dans des récipients, puis de les congeler pendant deux heures.
Ensuite, pendant que l’eau se liquéfie peu à peu, des formations cristallines éphémères se produisent, un peu comme des cristaux de neige. Emoto les photographie sous un microscope qui grossit entre 200 et 500 fois… et le résultat dépasse l’entendement.
Car les photos obtenues sont plus que des images, ce sont des messages.
Les premiers clichés tendaient à comparer de l’eau pure et de l’eau polluée.
Les eaux saines donnent des cristaux de forme harmonieuse, tandis que les cristaux d’eau polluée donnent des formes tordues, inharmonieuses.
Jusque-là, tout reste du domaine du « rationnel ».
Mais Emoto est allé beaucoup plus loin.
- détail d’un cristal d’eau
Des résultats incroyables
Dans un second temps, Emoto a exposé de l’eau distillée à différents types de musique.
L’eau témoin reste faible en cristaux.
Mais la même eau, « écoutant » de la musique relaxante, donne un grand nombre de cristaux semblables à des mandalas.
Chaque genre de musique donne un « style » de cristaux spécifiques.
Emoto est allé encore plus loin. Il a inscrit, au moyen d’un ordinateur, le mot « merci » sur une feuille de papier et, sur une autre feuille, des formules d’insultes. L’eau gelée a été enveloppée durant une nuit dans ces feuilles de papier.
Les photos donnent d’un côté de belles floraisons hexagonales, de l’autre une sorte de pustule repoussante.
Répétées de nombreuses fois, les expériences ont donné des résultats toujours significatifs. (voir les illustrations).
Nouvelle expérience : Emoto voulait éprouver l’effet de la conscience humaine. En janvier 1995, après le tremblement de terre de Kobé, il photographia l’eau de la ville et obtint des clichés torturés, horribles. Quand la vie reprit ses droits trois mois plus tard, les images étaient redevenues harmonieuses.
En 1997, il demanda à cinq cents pratiquants du hado d’envoyer, à une heure précise, des pensées d’amour et de pureté à une tasse remplie d’eau… On observa au développement des images splendides, comme des rosaces.
De nombreuses expériences montrent que la prière a un effet fantastique sur les formes obtenues.
Discussion…
Beaucoup n’hésiteront pas à critiquer les travaux d’Emoto. Il est en effet facile de se tromper et de prendre ses désirs pour des réalités.
Le hasard, parfois, fait bien les choses.
Il suffirait par exemple qu’il trie – même inconsciemment – ses clichés pour que les images soient en adéquation avec le but recherché. Il ne serait pas le premier à se tromper.
Emoto, qui se considère davantage comme un poète que comme un scientifique, souligne qu’il a pris un maximum de précautions.
Pour chaque échantillon d’eau, il a réalisé une centaine de cristallisations, toutes photographiées au microscope en plusieurs endroits et soumises à une grille qui permet d’estimer la proportion de cristaux bien formés.
Les séances de cristallisation se font en aveugle : les préparateurs ignorent la provenance des cristaux qu’ils photographient.
Rien, bien entendu, n’interdit à quiconque de reprendre ces expériences prometteuses dont nous présentons quelques superbes spécimens.Les images illustrant cet article proviennent du livre Message from water.
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