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Agir au cœur de la matière, décrypté chapitre par chapitre…

« Agir au cœur de la matière, quand la science se penche sur les phénomènes de psychokinèse », Dans ce livre, vous découvrirez une réflexion approfondie à propos de l’action de l’esprit sur la matière, ainsi qu’une analyse rigoureuse de l’approche d’Alain Moreau.

Le travail d’Alain Moreau est quasi exhaustif et décrit longuement la guerre menée par certains illusionnistes et prétendus rationalistes, ainsi que les critiques qui ont accompagné l’avancement de la recherche en parapsychologie.

Jean-Pierre Girard, le préfacier, qui est aussi au centre de ce livre, considère que le parcours d’Alain Moreau mérite une attention toute particulière du fait de son implication dans la recherche depuis plusieurs décennies.

Chapitre I « Jean-Pierre Girard : enfance, découverte de la PK, période de salons… »

Il est consacré à l biographie de Jean-Pierre Girard.

Né à Loches (Indre-et-Loire) le 22 décembre 1942, il a été abandonné par ses parents et confié à l’Assistance publique à l’âge de 18 mois. Il a été élevé par Augustine et Pierre Gardereau, dans un petit village de Touraine.

Enfant, il éprouvait de la fascination pour les billes et avait un don pour deviner le nombre de billes que ses camarades avaient dans leur poche. Un jour d’orage, la foudre est tombée sur l’arbre (un noyer) sous lequel il s’était réfugié…

 Chapitre II « Expériences avec William Wolkowski »

Il relate comment une psychanalyste, Madame Durousseau, a témoigné des phénomènes qu’elle avait vus lors d’une émission de France Culture consacrée à la parapsychologie, à laquelle participait le professeur William Wolkowski. Ce dernier a contacté Madame Durousseau pour commencer à expérimenter avec elle.

Le chapitre décrit les expériences qu’ils ont menées conjointement et qui ont conduit à la découverte de phénomènes paranormaux tels que la télékinésie, la téléportation et la matérialisation. Le texte ne fournit pas de détails sur ces phénomènes, mais souligne leur importance dans le domaine de la parapsychologie.

Chapitre III « diverses démonstrations »

Il décrit plusieurs expériences menées dans le domaine de la parapsychologie, notamment une expérience réalisée au Novotel de Metz avec Le Républicain Lorrain et la télévision luxembourgeoise.

L’expérience consistait à placer un certain nombre d’objets sur une table, qui avaient été préalablement vérifiés, et à observer les phénomènes paranormaux qui se produisaient. Girard décrit comment il a réussi à fléchir trois clés simultanément lors de cette expérience. Le chapitre décrit également d’autres expériences menées dans le domaine de la parapsychologie, telles que des expériences de télépathie et de précognition. L

Le texte souligne l’importance de ces expériences pour la compréhension des phénomènes paranormaux et pour la recherche scientifique dans ce domaine.

Chapitre IV « Autres expériences ».

Ce chapitre relate les expériences de parapsychologie menées lors du Congrès de Lyon en 1976. Vous y découvrirez notamment les interventions d’André Sanlaville, d’Albert Ducrocq et de nombreux autres experts en la matière. Citons le physicien Charles Crussard, le physicien et mathématicien anglais Herbert Benson, Russel Targ de l’Université de Stanford, Douglas Dean et le docteur Alphonse Gay.

Le texte mentionne que l’illusionniste André Sanlaville avait testé Uri Geller lors de son passage en France, mais il ne fournit pas de détails sur la manière dont il l’a testé.

Il est mentionné qu’Albert Ducrocq a tenté de faire une expérience en public lors du Congrès de parapsychologie à Lyon en 1976, mais sans succès.

Les barres distribuées dans la salle, après avoir été préalablement contrôlées, ont fait l’objet d’un certain nombre de modifications de la part du public, mais cela n’a pas permis de reproduire les résultats obtenus lors des expériences précédentes.

Chapitre V « Études métallurgiques »

Il décrit les expériences menées par Jean-Pierre Girard sur l’effet de l’esprit sur la matière.

Girard a apporté des barres de métal “éprouvées” dans un centre de métallurgie, c’est-à-dire soumises à des tractions ou à des flexions pour en apprécier la résistance. Il a ensuite demandé à des sujets de se concentrer sur les barres de métal pour voir si leur résistance pouvait être modifiée par la pensée.

Les résultats ont été positifs, avec une diminution de la résistance des barres de métal lorsque les sujets se concentraient sur elles.

Le chapitre décrit également les différentes théories qui ont été proposées pour expliquer ces phénomènes, notamment la théorie de l’énergie psychique et la théorie de la conscience.

Enfin, le chapitre aborde la question de la répétabilité des expériences et de la nécessité de mener des études rigoureuses pour valider les résultats obtenus.

Chapitre VI « Jean Dierkens, John B. Hasted… »

Il décrit les expériences menées par Jean-Pierre Girard avec le professeur Jean Dierkens et le physicien John B. Hasted.

Les expériences avec Dierkens ont eu lieu en Belgique en 1977 et ont porté sur l’utilisation de l’électroencéphalographie pour étudier les séquences EEG pendant la psychokinèse.

Les expériences avec Hasted ont eu lieu à Londres en 1977 et ont porté sur l’étude des enfants qui pliaient le métal.

Le chapitre décrit également les différentes théories qui ont été proposées pour expliquer ces phénomènes, notamment la théorie de l’énergie psychique et la théorie de la conscience.

Enfin, le chapitre aborde la question de la répétabilité des expériences et de la nécessité de mener des études rigoureuses pour valider les résultats obtenus.

Chapitre VII « Copenhague, Bratislava, RDA, CIA… »

décrit les voyages de Jean-Pierre Girard en Europe de l’Est dans les années 1980.

On y découvre les différentes conférences auxquelles Girard a assisté, notamment la conférence sur la recherche psychotronique à Bratislava en 1983, ainsi que les différentes expériences menées dans ce domaine.

Le chapitre aborde également la question de l’implication de la CIA dans les expériences menées par Girard en examinant les documents qui ont été publiés.

Enfin, le chapitre décrit l’enlèvement de Girard par la CIA à Mexico en 1977 et explore les liens entre cet événement et les expériences menées par Girard dans le domaine de la parapsychologie.

Chapitre VIII « “Science et Vie“, le nitinol et les médias… »

Il relate comment Jean-Pierre Girard a été médiatisé à la suite de son expérience avec le nitinol, un matériau à mémoire de forme. En 1988, il aurait modifié la mémoire de ce matériau lors d’une expérience pour l’université d’Utrecht, ce qui a attiré l’attention des médias. Plusieurs journalistes ont alors contacté Jean-Pierre Girard pour en savoir plus sur ses expériences paranormales.

En 1994, le comité illusionniste des phénomènes paranormaux a mis en place un protocole pour étudier les phénomènes produits par Jean-Pierre Girard, et la conclusion du comité est que les phénomènes observés ne peuvent pas être expliqués par des techniques illusionnistes connues.

Chapitre IX « Expériences grenobloises, PK électro-acoustique… »

Il relate les expériences menées par Jean-Pierre Girard à Grenoble en 1987, où il a été soumis à des tests de psychokinèse électro-acoustique.

Les résultats ont montré que Jean-Pierre Girard était capable de produire des phénomènes électro-acoustiques sans contact physique avec les appareils de mesure. Les expériences ont été menées sous le contrôle de scientifiques et ont été publiées dans des revues scientifiques. Cependant, certains scientifiques ont critiqué les protocoles expérimentaux et ont remis en question les résultats obtenus.

Chapitre X « L’effet G »

Il relate l’expérience de Jean-Pierre Girard dans l’émission de télévision “Droit de Réponse” en mars 1987, qui était consacrée à Uri Geller.

Jean-Pierre Girard a montré qu’il était capable de produire des phénomènes similaires à ceux d’Uri Geller, tels que la torsion de cuillères, sans utiliser de techniques d’illusionniste connues. Les scientifiques présents sur le plateau ont été impressionnés par les phénomènes observés, mais certains ont remis en question les protocoles expérimentaux et ont suggéré que les résultats pourraient être dus à des techniques d’illusionniste.

Chapitre XI « Psychokinèse et guérison psi »

Il relate les expériences de Jean-Pierre Girard dans le domaine de la guérison psi.

Il a demandé à des guérisseurs de démontrer scientifiquement leurs capacités à soulager la douleur sans utiliser de thérapies officielles. Les résultats ont été mitigés, certains guérisseurs ayant réussi à produire des effets significatifs, tandis que d’autres n’ont pas réussi à produire d’effets mesurables.

Jean-Pierre Girard a également été soumis à des tests de psychokinèse pour tenter de guérir des souris atteintes de cancer, mais les résultats ont été négatifs. Les scientifiques ont remis en question les protocoles expérimentaux et ont suggéré que les résultats pourraient être dus à des biais expérimentaux ou des techniques d’illusionniste.

Chapitre XII « Mexico, Tokyo et URSS »

Il relate les voyages de Jean-Pierre Girard à l’étranger pour présenter ses capacités paranormales.

À Mexico, il a participé à une expérience de télépathie avec des étudiants, mais les résultats ont été mitigés.

À Tokyo, il a été invité à participer à une expérience de psychokinèse pour tenter de faire bouger un objet à distance, mais les résultats ont été négatifs.

En URSS, il a été invité à participer à une expérience de télépathie avec des scientifiques, mais les résultats ont été considérés comme non concluants.

Certains scientifiques ont remis en question les protocoles expérimentaux et ont suggéré que les résultats pourraient être dus à des biais expérimentaux ou à des techniques d’illusionniste.

Chapitre XIII « Psychokinèse et illusionnisme partie I »

Il aborde la question de la possibilité que les phénomènes paranormaux, tels que la psychokinèse, puissent être expliqués par des techniques d’illusionniste.

L’auteur examine les différentes techniques utilisées par les illusionnistes pour créer des effets similaires à ceux observés dans les expériences de psychokinèse, telles que la manipulation de l’environnement, la suggestion et la distraction.

Il souligne également l’importance de la mise en place de protocoles expérimentaux rigoureux pour éviter les biais expérimentaux et les erreurs d’interprétation.

Il conclut que, bien que certaines expériences de psychokinèse puissent être expliquées par des techniques d’illusionniste, d’autres semblent indiquer l’existence de phénomènes paranormaux réels.

Chapitre XIV « Psychokinèse et illusionnisme Partie II »

Alain Moreau examine les résultats d’expériences menées avec des sujets PK, notamment Jean-Pierre Girard. Ils discutent des protocoles expérimentaux utilisés pour éviter les biais expérimentaux et des résultats obtenus, tels que la flexion de barres métalliques et la déviation de faisceaux laser. L’auteur conclue que ces résultats suggèrent l’existence de phénomènes paranormaux réels.

Moreau souligne l’importance de la rigueur scientifique dans la conception et la réalisation des expériences de psychokinèse pour éviter ces critiques.

Enfin, il examine les implications des phénomènes paranormaux pour notre compréhension de la nature de la réalité. Il expose des théories qui tentent d’expliquer les phénomènes paranormaux, telles que la théorie de l’information non locale et la théorie de la conscience. Il conclut que les phénomènes paranormaux soulèvent des questions importantes sur la nature de la réalité et méritent une étude scientifique rigoureuse.

Chapitre XV « Psychokinèse : Jean-Marie Le Gall »

Il relate l’histoire de Jean-Marie Le Gall, un médium et magnétiseur naturopathe qui a découvert son aptitude à la psychokinèse lorsqu’il était écolier.

Il a vécu plusieurs phénomènes paranormaux tout au long de sa vie, notamment des manifestations de clairvoyance et de clairaudience, des contacts avec l’au-delà, des déplacements d’objets, la torsion involontaire ou volontaire de métaux, et des phénomènes de poltergeists.

Il a réalisé des expériences de psychokinèse sur des barres métalliques et des expériences de télépathie avec les cartes de Zener.

Aujourd’hui, il utilise ses dons de médium et de magnétiseur naturopathe pour aider les personnes en souffrance, en travaillant sur un support photo pour traiter des personnes à distance et en traitant également des plantes par magnétisme.

Chapitre XVI « Autres cas d’action PK sur des objets métalliques »

Il présente plusieurs cas de personnes ayant la capacité de générer des phénomènes de psychokinèse sur des objets métalliques, notamment des cuillers, des fourchettes et des barres métalliques.

Le parapsychologue allemand Hans Bender a étudié le cas de Sylvio Rahm, un sujet PK suisse qui avait la capacité de ressouder les objets qu’il rompait.

Le chapitre mentionne également d’autres sources qui ont étudié des cas de psychokinèse sur des objets métalliques, notamment Arthur S. Berger, Joyce Berger, Jule Eisenbud, Michael Dennis, H. H. J. Keil, Peter Phillips, et Walter and Mary Jo Uphoff.

Chapitre XVII « Les séances PK »

Il aborde les expériences menées pour étudier les phénomènes de psychokinèse.

Le chercheur américain Dean Radin a proposé un test pour prouver l’interaction esprit-matière, qui consiste à démontrer qu’un événement inhabituel s’est produit alors qu’il n’aurait pas pu se produire de manière naturelle.

Les cibles de ces expériences sont des objets stables qui ne fluctuent pas spontanément.

Le chapitre mentionne également les expériences menées à l’IMI (Institut Métapsychiques International) sur la micro-PK, qui utilise des générateurs de nombres aléatoires, ainsi que sur la macro-PK, qui est visible à l’œil nu lors de déformations de métaux, de mouvements d’objets ou d’impressions photographiques.

Ce chapitre décrit également une séance sur la macro-psychokinèse menée avec des adolescents, qui a présenté des objets déformés et des psychophotographies obtenus par PK.

Chapitre XVIII « En guise de conclusion : quel avenir pour la psychokinèse ? »

Il aborde les perspectives de recherche sur ce passionnant sujet.

L’auteur évoque deux possibilités pour faire renaître l’intérêt pour l’étude de la psychokinèse :

  • attendre qu’une nouvelle génération de sujets PK émerge
  • ou mettre au point un protocole expérimental dans lequel les sujets PK et les illusionnistes contestataires seraient testés exactement dans les mêmes conditions.

L’auteur souligne également l’importance de trouver des sujets PK ayant la « bonne attitude d’esprit » et d’éviter les « shows » qui prêtent toujours à la critique.

Pour découvrir le livre il vous suffit de cliquer ici ou sur la couverture du livre ci-dessous :

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Jean-Michel Grandsire

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